Dons

L’Arlésienne en 2023, c’est d’abord le retour du magazine de la jointe trinité : gazette – enquête – anisette. Mais pas seulement. Pour informer, donner à lire, découvrir et comprendre des enjeux d’intérêt général, l’Arlésienne étoffe sa garde-robe, son équipe et multiplie ses modes d’expression. Des articles en accès libre via larlesienne.info et des bulletins numériques qui fleurissent au fil de nos reportages, investigations et rédactions. Cette année, c’est aussi plus de radio et de réseaux sociaux. Des contenus gratuits qui ont un coût.

Par exemple, pour habiller un numéro de l’Arlésienne, il faut un bon peu d’une quarantaine de jours de travail, partagés entre ceux qui enquêtent, écrivent, maquettent et photographient. Payés au Smic comme des tâcherons précaires. C’est aussi du papier, de l’impression et un réseau de diffuseurs qui ne travaillent pas seulement pour la beauté du geste. Sans compter la grosse coudée de bénévoles pour corriger, diffuser le journal et tenir le comptoir lors de nos événements.

Nos ventes sont une belle part de notre chiffre d’affaires, mais ça ne suffit pas. Sans financement des collectivités territoriales, sans publicité, l’Arlésienne a besoin de vous. Pour l’existence du journal : les dons sont essentiels. Et pour avoir de la visibilité et prévoir nos enquêtes en fonction des moyens disponibles, le don mensuel, fidèle et ancré, reste la panacée de l’Hauture, la quintessence de la Camargue, le cœur de l’artichaut.

Au choix. Comme le montant. L’Arlésienne râcle tout, même un euro par mois on prend ! C’est déjà un grand merci à vous et cette sensation d’être soutenus qui réchauffe le cœur et permet de se projeter. Et imaginez, vous êtes 5000, même à cette hauteur-là, c’est champagne !

Allez Virgile, Monique, paye ta tournée, on le rendra en articles et sourires.