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La journée « Monumental » de l’Arlésienne samedi 30 avril à Gimeaux

La journée « Monumental » de l’Arlésienne samedi 30 avril à Gimeaux

Pour la sortie du numéro de printemps « Sauter les barrières », l’Arlésienne vous invite à partager une journée festive et champêtre et une folle soirée à la légendaire Monumental de Gimeaux. Le club taurin Lou Fourmigo et ses arènes en bois seront le lieux de toutes les festivités.

AU PROGRAMME
.11h 4 petites vaches de la manade Vallat pour les amateurs et amatrices. Jeux camarguais. Primes pour les meilleurs rasets et l’animation.
Entre midi et deux ainsi de suite
Sebastioun, chansons apéritives
Lou pébre de Veleroun, paëlla généreuse et familiale
.15h Nicolas Puig, chants méditerranéens
.16h Initiation aux danses traditionnelles, entre va nu pied et tutu panpan !
.17h Construction d’instruments. A Gimeaux, y’a tout ce qu’il faut pour souffler dans le roseau.
.18h Présentation du sommaire de l’Arlésienne de printemps : « Sauter les barrières »
.20h Tchoune, rumba camarguaise
.21h30 Delta Sonic + Emmanuelle Aymès
Electro balèti turbo folk provençal

Terrain de pétanque, jeux et guinguette ouverte non stop.

Possibilité de planter la tente pour pas rentrer bourré ou faire trop de route en voiture ou en vélo.

Un verre sera offert à ceux qui arrivent en vélo d’Arles ou d’ailleurs (mais pas juste du parking, vérification de la géolocalisation par GPS par contrôles inopinés).

 

La Monumental ?

C’est un lieu hors du temps à la lisière de la ville. Un club taurin où une poignée d’amis ont construit ces arènes en bois. Légendaire dans le milieu de la tauromachie local et international. A 3 km du rond-point des Saintes, toujours tout droit après les Papeteries Etienne. 5 minutes en voiture, 15 en vélo, vous pouvez dormir sur place si vous êtes trop bourrés pour rentrer ou si vous habitez trop loin, aucune excuse !

Le nom du lieu vient d’une référence La Monumental, les arènes impressionnantes de Barcelone. L’appellation prend son origine d’une boutade. Alors que Dominguo Dominguin triomphe à Gimeaux à l’époque où les téléphones portables n’existaient pas, il s’en va prendre sa douche chez Daniel. Une fois propre, il appelle sa mère en Espagne pour la rassurer sur son sort. Sa mère d’une oreille, il demande à son hôte, « Comment s’appelle les arènes ? ». Daniel, le clown torero de la bande de Francis Espejo lance « La Monumental » suivi d’un petit rire goguenard. L’ami Dominguo répète religieusement.
Deux semaines plus tard, dans la presse taurine espagnole de référence : « Province d’Arles, Dominguo Dominguin, deux oreilles à La Monumental de Gimeaux », la légende es née. Une monumental composée de planches de bois, d’anciennes traverses SNCF et de jus d’amitié. Aujourd’hui, elles sont toujours portées par le Club taurin Lou Fournigo, une troupe un peu folle et terriblement accueillante.

 

l’Arlésienne du printemps  : « Sauter les barrières »

l’Arlésienne n°15 : Sauter les barrières, 92p.
Sommaire :
. Témoignage : « On peut être reine d’Arles et homosexuelle »
. La première marche des fiertés à Arles
. Fanfonne. Monter à califourchon, une petite révolution
. Quartier : Barriol, berceau des traditions
. Raseteur, d’où viens-tu ?
. Anouar : De la tauromachie de rue à la présidence des arènes
. Entre occitanisme pur et extrême provençalisme : le Félibrige
. Le Collectif Prouvènço et la peur des occitanistes
. Culture provençale, chrétienne… et sarrasine
. Portfolio. Retour au sauvage du carnavalSociété
. Avortement, raconter ce qui se tait
. Les forçates de l’aide à domicile
. Social : L’inexplicable abandon du club jeunes par la Ville d’ArlesAmérique du sud
. A l’arrière des champs, la santé bricolée des ouvriers
. La justice face à « l’esclavage moderne »
. Le petit routier. Resto équatorien à Bellegarde
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l’Arlésienne n°18 – hiver 2024